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En matière de travail et d’emploi, deux logiques s’affrontent.

La première : alimenter les profits. Pour cela transformer le travail, jusqu'à l'ubérisation, pour l'exploiter plus, en baissant la part des salaires et des dépenses sociales ou publiques dans l'ensemble de la valeur ajoutée. Dans ce sens, la guerre économique, la compétition entre tou·te·s et l'insécurité sociale, mais aussi la façon d'investir sont utilisées pour faire pression à la baisse sur ces dépenses.

Cette vision inspire la plupart des politiques conduites par les différents gouvernements depuis plus de trente ans. Elle s’attaque au code du travail ou à la Sécurité sociale et à tout ce qui met en cause la loi du capital et la loi du plus fort. Elle conduit à la dégradation des conditions de travail et à la souffrance au travail. Cette logique est au cœur de la politique d’Emmanuel Macron.

Pour les communistes, au contraire, le moteur d’une société moderne, c’est de libérer le travail de chacun, de permettre aux salarié·e·s de se réaliser dans leur activité professionnelle, de réaliser un travail de qualité, qui soit reconnu et dont ils et elles soient fier·e·s. Cela suppose de nouveaux droits pour les travailleur·euse·s (voir ci-dessous), qui constituent une sécurité d'emploi et de formation pour contribuer au développement de toute la société et de chacun·e.

La Sécurité sociale a constitué une grande avancée décisive en ce sens pour tous les travailleur·euse·s. Nous proposons de la défendre, de la développer et d'étendre sa logique au travail et à l'emploi pour en finir avec le chantage permanent au chômage dont sont victimes les salarié·e·s, et avec elles et eux toute la société. Nous proposons de faire du neuf, d’engager l’éradication progressive du chômage en promouvant un véritable système de sécurité de l’emploi et de la formation tout au long de la vie.

Ce système vise à assurer à chacun·e un emploi ou une formation rémunérée pour revenir ensuite à un meilleur emploi, avec une continuité de revenus et de droits relevés, sans passage par la case chômage. Il impliquerait une expansion systématique de la formation continue afin de répondre aux exigences de qualification des nouvelles technologies. Ce nouveau système assurerait une nouvelle liberté par de nouveaux droits et moyens pour les travailleur·euse·s :

  • le droit à la sécurité d'emploi et à une mobilité maîtrisée entre emploi et formation ;

  • le droit à une sécurité de revenu ;

  • le droit à une formation de haut niveau tout au long de la vie ;

  • le droit à une réduction du temps de travail ;

  • le droit d’intervenir sur la production et sur l’usage des fonds des entreprises.

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